Les récits de T.

04 JANVIER 2010 : une nouvelle histoire
Ma première visite dans L'Antre
A force de Surf sur le Web, on tombe souvent pas hasard sur des perles du Net. C’est ainsi que j’ai découvert le site de l’Antre, un site tenu par Caïman, le Maitre de sa ‘S’oumise, et qui parle d’une certaine vision du SM et d’un lieu parisien dans lequel on pratique un SM conviviale et décomplexé. J’ai de suite aimé l’ambiance de ce site, la qualité des textes et des récits proposés par certains internautes. Je n’ai pas résisté longtemps au besoin d’envoyer un récit et de profiter ainsi de cette tribune pour m’exhiber un peu plus. Ma seconde publication va attirer Maitresse Olivia, qui va prendre contact avec moi, me prenant pour un autre soumis. Une fois le quiproquo levé, je ne résiste pas à  l’envie de dialoguer avec elle, et c’est ainsi que j’apprends l’existence de ces après-midi organisés les jeudis dans l’Antre, dirigés par Maitresse Olivia et Madame Isis

Il est 14 H, je suis à deux pas de l’Antre, et j’admire les devantures de fabricants de chemises. Il faut maintenant se décider, franchir le porche de cet immeuble cossu, sonner à la porte du fon de cours, et …

Et j’entends des pas qui se dirigent vers la porte d’entrée, des talons qui résonnent à l’intérieur. Une main actionne la poignée et la porte s’ouvre enfin sur une femme.

Madame Isis est une belle femme. Habillée d’une robe noire, elle arbore un sourire engageant et rassurant, même si son visage exprime une certaine autorité mêlée d’une attention féminine toute maternelle. Après m’avoir pris mon manteau, elle me fait pénétrer dans l’Antre, et plus particulièrement dans le petit salon bar, derrière lequel officie un homme souriant dans la force de l’âge. A l’annonce de mon pseudo, le visage de Caïman - car c’est bien de lui qu’il s’agit- s’illumine, et il m’offre une poignée de main chaleureuse. Caïman semble heureux de découvrir son nouvel écrivain.

Cet accueil chaleureux me rassure, et la présence de Xavier, totalement nu au bar, finit de lever toutes mes inhibitions et mon stress. Après avoir rempli un petit formulaire destiné à mieux me connaitre, Madame Isis me prend en charge et me conduit à travers un escalier en colimaçon dans le cœur de l’Antre

Il s’agit d’une cave voutée, au fond de laquelle trône une croix de Saint-André et un grand miroir dans lequel la soumise ou le soumis peuvent se regarder souffrir. Un grand tapis orne le centre de la pièce, et au milieu du plafond une corde montre que les suspensions sont de mise dans ce donjon. A l’entrée, un siège à fesser qui doit en avoir vu. Je pénètre pour la première fois dans un véritable donjon, pas une de ces pièces aménagées à la va vite,  et je suis pris tout de suite par l’atmosphère mythique de ce lieu, relayée par les chants grégoriens qui tournent en boucle. J’ai déjà l’impression d’entendre les cris des esclaves fouettés attachés sur la croix, de ces soumis suspendus et torturés criant pitié sous les coups de leurs bourreaux, des soumises enfermées dans la minuscule prison sous l’escalier et réclamant leur liberté.

Madame Isis me rappelle à la réalité, et me présente un tréteau sur lequel elle m’ordonne de poser mes vêtements. Tout se passe trop vite, et je me voilà nu devant Madame Isis, à genoux sur le tapis. Elle remonte chercher Xavier, et nous échangeons quelques mots afin de détendre un peu cette atmosphère pesante. Ce matin, nous ne connaissions pas cet endroit, n’imaginions pas l’existence de l’autre, et seuls dans ce donjon, à genoux, attendant inquiets les tourments que nous sommes venus chercher, nous avons besoin de nous réconforter l’un l’autre. Ce qui n’est pas du gout de Madame Isis qui nous impose rapidement le silence de la pièce du haut. Madame Isis, en dominatrice expérimentée, connait bien les rouages de la soumission, le stresse qu’engendre l’attente.

Ses bruits de talons résonnent enfin sur les marches de l’escalier, ce qui a finalement l’effet de me rassurer. Nous allons enfin passer aux choses concrètes, et les neurones vont cesser de tourner en boucle, au profit des sensations physiques. Madame Isis me conduit directement sur le banc à fessées, Xavier ayant déjà reçu la sienne.

Je me retrouve à genoux, les fesses bien en évidence. Madame Isis va prendre mes deux globes en main. Elle commence par une caresse, comme si elle voulait sentir la peau de la chienne qui vient chercher son attention. Les premières claques s’abattent sur mes fesses, douces au début, puis de plus en plus fort. La douleur commence à poindre, et le plaisir avec. Une main, deux mains, l’une après l’autre, puis les deux ensembles. Ouf, ça fait mal ! Merci Madame. Je sens mes fesses chauffer, mais ce n’est vraiment que le début. Madame Isis s’est munie d’un martinet qu’elle fait siffler au dessus de mon cul. Quand les lanières s’abattent enfin sur la chair rougie, je ne peux réprimer un sursaut. Mais la douleur fait place à la chaleur, qui fait place au plaisir. Xavier est surpris de ma résistance, et moi, j’adore qu’on s’occupe ainsi de moi. Madame Isis a bien noté que je souhaite ne pas avoir de marques afin de préserver mon jardin secret auprès de ma famille, elle fait donc bien attention à y aller progressivement.

Enfin, des bruits de talons se font entendre. C’est Maitresse Olivia qui nous rejoint, suivie de Bertrand.

Maitresse Olivia est une travesti dominatrice. Elle est grande, haut perchée sur de magnifiques cuissardes qui montent jusqu’au milieu de ses cuisses. Ses yeux sont perçants et envoutants, sa bouche d’une grande sensualité. Fine et carrée à la fois, on imagine rapidement l’effet que ses mains produiront sur nos fesses.

Et sur nos trous du cul. Bertrand vient de subir un lavement, et Maitresse Olivia est venue me chercher pour la même raison. Permettez-moi de vous épargner les détails de ce moment intime, intimité qui n’existe dorénavant plus pour Maitresse Olivia qui m’a déjà totalement dominé en m’administrant ce lavement. Je ne peux plus prétendre à un soupçon d’indice de dignité face à cette Maitresse  qui m’a rempli les intestins de cette manière.

Quand je descends, je découvre un nouveau collègue, « lèche botte » qui s’occupe des cuissardes de Maitresse Olivia, Bertrand est en position sur le meuble à fessée, et subit les faveurs de Madame Isis. Elle s’ingénie à lui rougir les fesses, et il ne va pas tarder à craquer. J’enrage de ne pas être à sa place, alors que Xavier continue de mater.

Madame Isis, Maitresse Olivia, offrez-moi vos mains, offres-moi votre expérience, offrez-moi votre perversité !!

Ais-je parlé à voix haute ou sont-elles télépathes ? J’ai droit à une nouvelle séance sur le banc à fesser, les coups pleuvent, la brulure monte, je suis au Nirvana. Les instruments sont magnifiquement maniés par ces deux dominatrices, parfois cruellement, mais leurs mains sont toujours douces à mon postérieur. Mes fesses vont à la rencontre de ces mains, les cherchent comme si elles étaient aimantées.

Et pour éviter que les marques ornent ma chair, Madame Isis, après cette séance musclée, tartine copieusement mes fesses de crème apaisante. Quelle délicatesse !

 Dans une pièce annexe, les gémissements de Bertrand expriment son plaisir mélangé à la douleur que lui procure Maitresse Olivia. Elle tente un fist, et cela s’entend. Pendant ce temps, Madame Olivia a déployé une bâche en plastique pour recouvrir le tapis. Elle me fait mettre à quatre pattes, et je comprends que la cire va couler. L’attente, l’inquiétude, et subitement, la première coulure de cire sur mes fesses, puis une seconde, une troisième, et je ne sais plus compter. Avec la cire, la douleur est assez vive, mais elle s’estompe rapidement. J’adore. Le top, c’est qu’il faut la retirer, et muni de l’énorme couteau de Caïman, Madame Isis racle la cire colée à mes fesses. La froidure du métal au contact de mes fesses brulantes me procure un effet surréaliste, je ne peux m’empêcher de tortiller du cul ce qui me vaut les réprimandes de Madame qui craint de me blesser. Je me trouve ainsi frustré de ce plaisir physique que j’ai interdiction d’extérioriser. La frustration, une des facettes du SM.

Tout le monde est monté marquer une première pause pendant que je nettoie mes cochonneries.

 A l’étage, je profite d’un petit moment de répit, entouré de mes collègues d’infortune et de deux superbes Dominas. Merci Caïman pour ce moment de convivialité. Celui-ci vient de découvrir mon gout pour les jeux de cire, et propose à Madame Isis de me faire une petite surprise. Faut-il craindre le pire ? A la fin de ce petit moment de convivialité, j’explique que j’ai amené mon collier, et propose de le mettre.

 Mon collier autours du cou, je redescends dans le lieu des supplices avec mes collègues. Les soumis sont répartis entre Madame Isis et Maitresse Olivia. N’ayant pas annoncé plus tôt l’existence de mon collier (je vous raconterai un jour l’histoire de ce collier), je me trouve enfermé et attaché dans une minuscule prison sous l’escalier. Interdiction de baisser les yeux, car la punition consiste à regarder mes collègues soumis subir les outrages auxquels j’aspire tant. « Lèche botte a amené son appareil photo, et il se fait fesser sous l’objectif. Les deux dominas sont autours de lui, et je suis réduit au rôle de simple voyeur.

Enfin, Maitresse Olivia vient me libérer. Je la crois très à l’écoute des mots que je ne prononce pas. Elle me libère de ce mini cachot, avant de m’emprisonner les tétons de pinces à seins reliées par une chaine. Je suis très sensible de cette partie de mon corps, et je souffre énormément. Mais je n’ai pas le temps de le dire, car Maitresse Olivia m’entraine, tiré par la chaine, vers une salle annexe. Elle veut me fister. J’avoue avoir très envie de ce moment car je suis un peu frustré d’une expérience avortée, mais plutôt anxieux après avoir vu la taille de ses mains.

Installé à quatre pattes sur une table, Maitresse Olivia enduit mon anus de gel. Un doigt, deux doigts, massage, va et vient que j’amplifie afin d’augmenter mon plaisir. Les doigts se multiplient, mon plaisir aussi, mais des raisons techniques ne permettent pas à Maitresse Olivia d’aller plus loin. Quel dommage !

 Après une courte pause, je me retrouve à genoux au centre de la pièce. Caïman est descendu pour apprécier le spectacle. J’entends un énorme claquement qui résonne dans cette cave voutée. La tension vient de montrer d’un cran au son du fouet manié de main de Maitre par notre hôte. Sentant « lèche botte » particulièrement inquiet (et c’était probablement le but du jeu), Caïman tente de démonter que cet engin n’est pas si violent quand on sait l’utiliser. Je deviens son jouet de démonstration, et je reçois les premiers coups de fouet de ma vie. En effet, Caïman titille mon dos et mes fesses. La douleur est fulgurante mais s’estompe quasi immédiatement, pout faire place à une nouvelle, le dos, les fesses, à gauche, à droite. J’avoue prendre un certain plaisir à ce qui ressemble plus à une démonstration qu’à une punition.

 Madame Isis me sort de mes pensées extatiques, et m’ordonne d’installer à nouveau la bâche en plastique pour recouvrir le tapis, pendant que « lèche botte » et Xavier se font torturer. A peine la bâche mise en place, Caïman me demande de m’installer à quatre pattes.

 Ma surprise va débuter, et c’est Caïman qui va s’en charger. Il a allumé une bougie et rapidement je sens une succession de gouttes bruler mes fesses. La cire coule et s’approche inexorablement de mon trou du cul. Je me tortille pour anticiper les coulures, j’attends cette sensation intense de brulure sur mon anus. Caïman s’amuse de me voir ainsi chercher la douleur, et quand il a enfin bouché mon cul à la cire, il m’ordonne de me coucher sur le dos. La cire s’attaque dorénavant à ma queue, et force est de constater que j’adore la violence de cette sensation, même si je ne peux réprimer quels que soupirs de douleur. La cire coule et recouvre petit à petit ma bite, Caïman m’obligeant à diriger les parties vierges de cire vers la douleur à venir. Quand la douleur est trop forte, j’ai le plaisir de sentir la cuisse chaleureuse de Madame Isis, qui s’occupe à coté de « lèche botte ». Caïman est fier de lui, ma bite est dorénavant totalement noire, et je prends un grand plaisir à cette torture. Mais Caïman en veut plus.

Après avoir éliminé le surplus de cire noire avec son énorme couteau, il reprend une nouvelle bougie rouge. Comment savez vous que le rouge est ma couleur préférée ? Ah !!! La douleur est bien plus violente, et j’ai du mal à résister. Mais le plaisir reprend le dessus. Petit à petit, mon sexe devient tout rouge. Que donnerais pour pouvoir l’admirer. Caïman n’est toujours pas contant de son œuvre, et c’est avec un plumeau dans le cul bouché à la cire que finira mon supplice. Caïman a manifestement pris du plaisir, il est fier de son œuvre et demande à « lèche botte » de prendre des photos. Merci Caïman ! Dans son grand humanisme, Caïman retire lui-même la cire dont il a recouvert mes parties génitales, et nous adorons le moule de mon gland qu’il réussi à récupérer.

Un grand moment, plein d’émotions, de douleur, de soumission et de plaisir vient de se passer.

 Nous montons faire une seconde pause, toujours aussi conviviale. Bertrand est occupé à masser les pieds de Maitresse Olivia, et les conversations sont toutes axées autours du SM. Ce moment de répit, après toutes ces émotions, fait du bien aux soumis, mais également à nos dominatrices qui ont donné de leur personne pour s’occuper de nous. Pendant cet intermède, et sans que je m’en aperçoive, les conversations tournent autours de « la chose », et je n’y prête que peu d’attention, tout à l’intériorisation des sensations et des émotions que je viens de vivre.

Quand Madame Isis nous indique qu’il est temps de redescendre dans l’Antre, tout le monde remarque que je suis le premier. J’en veux encore, je ne suis pas rassasié. Pourtant, si l’après midi se finissait maintenant, je ne serai pas déçu bien au contraire.

Je suis le premier à me présenter à genoux, attendant nos dominatrices. « Lèche botte » m’a rejoint, suivi de Bertrand. Quand nos Maitresses descendent enfin, elles nous font nous rapprocher les un des autres, les mains positionnées en forme d’offrande, les yeux fermés.

Subitement, Madame Isis pose sur nos mains « la chose » et nous autorise à ouvrir les yeux. Nous découvrons une sorte de Paddle en cuir, très épais et long d’au moins 50 cm de long, et nous comprenons que nous allons la tester.

« Lèche botte » est le premier, bien cambré sur la croix de Saint André, mais il crie pitié assez rapidement.

Bertrand souhaite passer avant moi et ne subira que quelques coups.

C’est à mon tour de subir « la chose » et au vue de la réaction de mes collègues, je n’en mène pas large. Je tends mes fesses au maximum, et quand tombe le premier coup, la douleur me fait sursauter. Madame Isis me demande de compter, et après quelques assauts, elle me fait reprendre à zéro le comptage. Belle perversion. J’égrène les coups, et arrivé à sept, les numéros sortent de plus en plus difficilement de ma bouche. Je souffle un huit comme dans un râle, il me faut plusieurs secondes pour lâcher le neuf, quand au dix, je réussi à sortir ce chiffre juste à temps pour éviter un retour à zéro. Merci Madame Isis pour cette nouvelle expérience.

Et pour continuer à faire monter l’ambiance, Madame Isis entreprends de nous rougir le ventre, Bertrand et moi, à coups de cravaches, pendant que Caïman s’occupe de nous fouetter les fesses avec une badine qui me brule comme jamais. On nous demande de chanter, ce qui est au dessus de mes forces, tant je dois me concentrer pour retenir mes cris et mes larmes. Bertrand s’écroule terrassé par la douleur ; il est en larmes. Madame Isis me réclame alors un alphabet, que je dois réciter à chaque coup de cravache sur le ventre, alors que Caïman n’a pas lâché sa badine. J’égrène tant bien que mal les lettres, et c’est avec un sentiment de victoire et un grand soulagement que j’arrive enfin au Z. Je dois être tout rouge, et je sens quelques gouttes de sueur perler sur mon visage. Quelle épreuve !

Après une courte pause destinée à calmer Bertrand, je reprends place sur la chaise à fesser, et c’est Maitresse Olivia qui prend un malin plaisir à faire rougir pour la dernière fois mon cul qui ne demande que cela. J’aime sentir ses mains sur mes fesses, sur ma peau déjà rougie. Elle y va crescendo, et c’est bon. Quand enfin, épuisée, elle s’assied dans le fauteuil, Maitresse Olivia m’offre ses cuissardes à lécher, un moment que j’attendais avec impatience. Je me délecte de ses pieds si joliment bottés, je les caresses de ma langue, de ma bouche, je nettoie avidement ses semelles dans un râle de plaisir, d’autant que Maitresse Olivia m’a autoriser à me caresser. Elle me permet également de sortir du banc à fesser pour pouvoir remonter le long de sa jambe, toujours plus haut.

Madame Isis et les deux soumis nous ont quitté et on regagné le petit salon, nous laissant dans notre intimité. Je bande un peu plus quand elle me laisse approcher de son entre cuisse. Je me jette goulument sur sa petite culotte, et je sens avec délectation que ma langue ne la laisse pas indifférente. J’ai enfin le droit de sortir sa bite déjà bien dure de son string, et me précipite pour la lécher et le prendre dans ma bouche. Quelle belle queue, son gout est vraiment bon. Ses mains me caressent les cheveux, ses ongles griffent mes épaules et mon dos. Je m’enfonce le plus profondément possible cet objet de plaisir au fond de ma gorge, réprimant régulièrement des haut de cœurs, ce qui me fait monter les larmes aux yeux. Je me sens vraiment dans mon élément, je suis plus salope que jamais.

Maitresse Olivia me donne des conseils pour lui procurer toujours plus de plaisir, mieux utiliser ma langue autours de son gland, et quand elle sent que je ne pourrai réprimer le mien bien longtemps, elle m’ordonne d’éjaculer sur ses bottes et de lécher ensuite ma semence. Ma bouche quitte cette queue si dure et si belle, et je me répands en longs jets  blanchâtres sur ses bottes noires. Je crois n’avoir jamais éjaculé autant de sperme, et ce sont quatre ou cinq jets qui maculent ses cuissardes. Et quand enfin j’ai vidé toute ma jouissance sur ses bottes, je m’emploie à nettoyer au mieux les traces que j’ai faites, léchant la moindre goutte de sperme qui pourrait souiller les cuissardes de Maitresse Olivia. J’adore ce moment où je suis la salope de ma Maitresse, et prends énormément de plaisir à me transformer en chienne.

Merci Maitresse Olivia pour avoir transformé cette fin d’après midi en apothéose.

Merci, merci, merci !!!

 L’après midi s’achève dans le petit salon, autours d’un verre, de conversations conviviale et d’échanges de coordonnées.

 J’ai rarement passé un moment aussi intense.

Merci Mesdames, merci Messieurs, je reviendrai.


03 novembre : nouveau récit



Cette fin semaine de février fut d’une richesse rare dans ma vis de soumis, et c’est un peu grâce au hasard qui a pointé le bout de son nez au bon moment.
 

Nous sommes Mercredi soir, il est 18 H et je pense travailler un peu tard car demain soir, je pars en déplacement à Marseille. Quelques dossiers à traiter, et je rentrerai tranquillement à la maison préparer ma valise.

Oui mais le téléphone sonne, et les dossiers vont devoir s’accumuler !

Il s’agit d’un numéro masqué mais, contrairement à toutes les dominatrices de France et de Navarre, je décide de prendre l’appel. Je reconnais immédiatement cette voix, chaleureuse, avec un fort accent slave. Il s’agit d’une personne que j’ai contactée il y a plusieurs mois sur un site de rencontre, en répondant à une annonce orientée Uro.  

A ce stade de mon récit, permettez-moi une petite digression, pour ceux qui ne me connaissent pas encore bien. Et bien oui, l’uro est mon péché mignon, et je n’ai pas de meilleur souvenir de mes moult séances de domination que celles qui finirent en grosses douches dorées sur mon corps et/ou dans ma bouche. 

Cette personne, appelons la Katia, se rappelle à mon bon souvenir, me demande si je cherche toujours à me faire pisser dessus. Elle habite à deux tours de roues de mon bureau, et si je suis toujours d’accord, elle m’attend dans 20 minutes.

Et que pensez-vous qu’il arriva à mes dossiers. Evidemment, mon sang ne fait qu’un tour, sa voix envoutante m’attire, et ma dernière séance uro est si loin !

J’accepte donc son invitation, range mes affaires et me précipite dans ma voiture. Je suis le GPS, trouve facilement l’adresse, mais en région parisienne, le plus difficile reste à trouver une place accueillante pour mon break. Au second tour de pâté de maison, le téléphone sonne. C’est la charmante pisseuse qui s’impatiente, et je comprendrai bientôt pourquoi.

Je trouve enfin une place, file à son adresse, l’appelle pour connaitre l’étage et le numéro de son appartement. L’excitation me gagne et je suis dans tous mes états quand, enfin, je sonne à sa porte. 

Des bruits de talons résonnent nonchalamment sur un parquet, la porte s’ouvre sur une superbe blonde d’un mètre soixante dix. Elle est jeune, dans les 25 ans, mince, une silhouette de mannequin, moulée dans une petite robe ultra courte qui ne cache pas grand-chose de sa plastique.

Elle m’accueille avec un grand sourire dans son petit studio.

« Alors, c’est toi la salope qui vient pour se faire pisser dessus ! Déshabille-toi ! »

Pas grand chose à répondre, et je dois avouer que cette entrée en matière plus que directe me fait un certain effet. J’ai un peu de honte de dénuder mon corps d’homme mur devant cette gamine, mais il est trop tard pour reculer.

Elle me conduit dans la salle de bain, et m’indique la baignoire dans laquelle elle me fait signe de m’installer. C’est toujours le moment le plus désagréable, sentir la froidure du sanitaire sur son dos.

Mais les choses s’accélèrent bien vite, et la chaleur ne va tarder à grimper. D’un geste élégant et furtif, Katia retire sa robe, et se montre à moi entièrement nue. Je ne m’étais pas trompé, son corps est magnifique, mais je trouve dommage qu’elle ait cédé aux appels des plasticiens pour augmenter le volume de sa poitrine. Mais l’ensemble est très excitant. Elle caresse langoureusement sa chatte  rasée, au dessus de laquelle elle a laissé un petit filet de poils blonds, tout en me regardant dans les yeux.

Je commence à me caresser par reflexe.

« C’est ça, ma salope, masturbe toi ! ». Elle a dit ça le plus naturellement du monde, avec un petit sourire dans lequel je ne lis aucun mépris. 

Elle retire ses escarpins et grimpe sur la baignoire. J’ai sa chatte nue à la hauteur de ma bouche, et je ne peux refreiner l’envie irrépressible de lécher ce fruit défendu.

Elle se laisse faire volontiers, et je la sens s’ouvrir sous mes coups de langues.

Mais très vite, la chaleur qui me gagne n’a rien à voir avec son excitation. C’est un petit jet d’urine qui arrive dans ma bouche, que je m’empresse d’avaler. Elle a bon gout, pas fort, j’adore.  

Vous savez quoi, je suis en train de bander en rédigeant ses quelques lignes. 

Et là, je comprends pourquoi elle était si pressée de me voir arriver. C’est un jet continu et violent qui m’asperge. Je voudrais pouvoir déclencher le ralenti, faire des arrêts sur image pour me voir me délecter de ce nectar des déesses, admirer ses jets puissants qui jaillissent de sa petite chatte. J’avale de grands jets, mais cela va trop vite et je dois me résoudre à gaspiller son champagne. Mais c’est aussi très excitant de le sentir couler sur mon corps. Et elle ne s’arrête pas, c’est véritablement merveilleux. J’avale une gorgée, le reste me coule dessus, et je recommence. Elle me dévisage de son regard ingénu tout en continuant à m’asperger.

Pendant se temps, ma main gauche n’a pas cessé d’astiquer ma queue qui tarde à jouir, tant je suis concentré à prendre le meilleur de ce que m’offre Katia.

Les jets deviennent plus légers, et je m’autorise à lécher cette chatte toute humide, d’enfoncer ma langue pour récupérer la dernière goutte de son champagne. Elle se laisse se faire gentiment jusqu’à ce que ma main gauche ait fini son office, et que je lâche ma semence sur mon ventre.

Un sourire radieux illumine mon visage, je frise le nirvana, et cela semble lui faire plaisir.

Katia prends le pommeau de douche pour se nettoyer au dessus de moi, avant de me laisser dans la baignoire en faire autant.

Je la rejoins rapidement dans sa pièce principale où je vais me rhabiller sous son regard amusé. Nous n’aurons pas échangé beaucoup de mots, mais je crois qu’elle a passé un bon moment, et moi, j’ai atteins des sommets. Merci Katia, et vive les rendez-vous improvisés. 

Je rentre chez moi, heureux et détendu, mais la semaine est loin d’être fini.

Jeudi matin, avant de partir à mon boulot (je ne prendrai le départ pour Marseille que ce soir), je consulte ma messagerie personnelle, et découvre, avec un mélange de joie et de doute, une réponse de Dom Louise. J’ai répondu hier après midi à son annonce, avant de savoir comment se terminerait ma soirée avec Katia.  

L’annonce était claire, une bonne fessée punitive sinon rien.

Un jour, je vous raconterai mes débuts dans la soumission, et c’est bien par la fessée que tout a commencé. Mais paradoxalement, depuis environ 4 ans que je passe de mains en mains plus ou moins sévères, je n’ai pas eu l’occasion de sentir la chaleur de mes fesses grimper sous les mains fermes d’un dominant. Alors, cette annonce ne pouvait me laisser indifférent.

Jeudi après midi, aux pieds de la gare de Lyon, j’appelle Dom Louise comme elle m’y a encouragé dans son mail. Sa voix est agréable, son discours direct et ferme. J’aime sa façon de me parler, et bien que cette rencontre tombe finalement assez mal (compte tenu de ma visite chez Katia mercredi), je ne peux qu’accepter de rencontrer cette femme devant laquelle, je le pressens, je deviendrais un petit garçon qui se fait corriger pour ses nombreuses bêtises. Dom Louise est d’ailleurs très claire au téléphone. Elle ne pratique pas le « pan pan cul cul » selon sa propre expression mais bien la fessée punitive.

Après un voyage en TGV pour me décider, nous tombons d’accord sur une fessée matinale. Dom Louise me rejoindra à l’hôtel à 7 H 30, et s’occupera de mon cas. 

La nuit qui s’en suit est plus que mouvementée.

Je me réveille à 3 H en sursaut, je viens de rêver d’elle. Dans mon rêve, je la croisais à la réception de l’hôtel, en rentrant de diner avec un collègue. Sans nous connaitre, son regard me faisait comprendre que c’était elle, et mon collègue, manifestement au courant de mes penchants, me laissait seul avec elle. Ouf, ce n’est qu’un rêve.

Nouveau réveil à 5 H, après un ultime rêve de mon futur bourreau, assez proche du précédent, amis c’est avec ma famille ce coup ci.

A 6 H, je me réveille à nouveau, me prépare, et je commence à attendre, avant de m’apercevoir que j’ai une heure d’avance. Dur dur ! Encore une heure à attendre, à me faire des films et à stresser.

Dom Louise m’a demandé de la recevoir habillé, j’ai donc revêtu une chemise et un jean, mais mon coté pervers m’a poussé à ne pas mettre de slip. Compte tenu de la suite des évènements, je me demande à l’heure où j’écris ces lignes si je n’ai pas fait une erreur. Mais bon, je ne regrette rien. 

7 H 30, le téléphone sonne enfin, Dom Louise vient d’arriver à l’hôtel. 3 coups fermes à la porte.

Je me précipite pour ouvrir la porte de ma chambre à « super Nany. Dom Louise n’est pas très grande, elle a le look de la Maitresse anglaise, les lunettes sévères et une robe un peu stricte. Son bonjour laisse transparaitre une grande humanité, qu’elle cache volontairement par une tenue destinée à en imposer. Sa démarche est volontaire et dynamique, et à cet instant, je me demande si je n’ai pas commis une grosse bêtise en acceptant de lui confier mes fesses. Mais il est bien trop tard pour reculer, d’autant que Dom Louise a déjà posé son manteau et son sac, et m’attends de pieds ferme.

« Alors, c’est toi le vilain garçon qui a fait des bêtises ! Explique-moi en quoi consistent les bêtises que tu as fait »

Je suis fortement impressionné par cette petite femme et par le ton péremptoire de sa voix. Je ne sais quoi répondre et baisse un peu la tête.

C’est à ce moment que je reçois ma première gifle. Et pas n’importe quelle gifle, de celles qui vous font vriller la tête sur elle-même, de celles qui vous blessent physiquement mais surtout au plus profond de votre amour propre. Les larmes me montent immédiatement aux yeux, mais j’arrive à les contenir.

« Alors, tu réponds » me lance-t-elle.

« Heu, j’ai menti à ma femme »

Une seconde claque du même acabit, vais-je tenir le coup ?

« Tu mens à ta femme, mais quoi d’autre ? »

Ma voix se transforme en un petit filet, et Dom Louise doit tendre l’oreille pour entendre ma prochain réponse tant j’ai honte de dire cela.

« Et bien, j’aime que l’on me fasse pipi dessus, et dans la bouche »

Dom Louise réprime un rictus de dégout, et m’assène deux nouvelles gifles bien sentie.

Elle s’assoit sur le canapé de la chambre, me demande de baisser mon pantalon et de venir m’allonger sur ces genoux. Moi qui ai bandé toute la nuit à cette idée, les quelques gifles que j’ai reçu ont remis ma queue à sa place, c'est-à-dire entre les jambes.

Je m’exécute, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, la main droite de Dom Louise s’abat sur mes fesses. Et quand nous avons parlé de fessée punitive, je peux le confirmer. Les coups s’enchainent, vite trop vite, mes fesses me brulent, la douleur est d’une intensité rare, et je commence rapidement à gesticuler à défaut de me débattre.

« Tu ne vas pas te mettre à brailler, j’espère » Me lance-t-elle. « Et arrête de bouger comme cela »

Et les coups reprennent de plus belle, 15, 20 je ne peux les compter.

« Allez, lève toi que j’admire le résultat de mon travail »

Je lève ma chemine pour qu’elle admire la couleur de mes fesses.

Mais le résultat ne lui convient pas. Je me retrouve une seconde fois en travers de ses genoux, les coups reprennent de plus belle. Je m’accroche à l’accoudoir du canapé, je tente de respirer et de retenir mes larmes, quand le calme revient.

Elle me demande de me relever, et de lui montrer à nouveau des fesses brulantes qui doivent être bien rouge.

Elle se lève également et m’ordonne de lui embrasser les pieds en guise de remerciements. Je profite de ce court instant de répit, et m’exécute avec joie. Dom Louise a bien compris qu’un instant de repos était nécessaire, mais à mon grand damne, l’adoration de ses pieds est de trop courte durée.

Elle reprend sa position sur le canapé, et je me retrouve à nouveau les fesses à la merci de ses mains fermes. A cet instant, je commence à  ne plus ressentir la douleur de la même façon. Les deux séances précédentes ont commencé à anesthésier ma peau, et j’ai beaucoup moins mal à chaque nouvelle claque, dont l’intensité n’a pas diminué pour autant. Aussi, c’est avec une légère déception, mais un peu de soulagement tout de même, que je l’entends dire :

« Je dois arrêter là, car si je continue, tu risque d’avoir des bleus. Tu n’a pas reçu assez de fessées ».

La séance est finie, et quand je remonte mon pantalon, je sens le contact du jean bruler mon postérieur.

Dom Louise prend le temps d’essayer de mieux me connaitre, et se dévoile un peu, c’est très agréable. Je crois que je reviendrais, en fait, j’en suis à peu près sur.

Je sais que la journée sera magique, je vais la passer en réunion, et mes fesses écarlates me rappelleront toute la journée ce réveil en fanfare.

Jeudi soir, de retour chez moi, je n’ai pas résisté à l’envie, au besoin même, de regarder mes fesses dans la glace de la salle de bain. Cela fait bientôt 16 heures que j’ai reçu ma correction, mais les fesses sont encore bien rouges, et quelques légères marques m’interdiront de montrer mes fesses pendant un jour ou deux,  au risque que ma femme découvre mes penchants pour la soumission et la fessée.

Merci Divine Louise ! 

Quelle semaine ! 

SUITE....

J’ai conservé un souvenir cuisant de ma rencontre avec Dom Louise, cette fesseuse formidable de Marseille. Il y a quelques semaines, je l’ai accueilli dans ma chambre d’hôtel, au petit matin, pour recevoir une véritable punition, dont mes fesses ont conservé les marques pendant deux jours. 

Même si mes débuts dans le SM ont débuté par une séance de fessée qui m’a permis d’assouvir un fantasme, au cours de ma petite expérience dans ce monde, j’ai souvent préféré la soumission et les humiliations aux pratiques purement masochistes. En fait, je suis plutôt douillet. Pourtant, de retour à Marseille, j’ai repris contact avec Dom Louise pour solliciter une nouvelle rencontre. Je sais pourtant que j’aurai mal ! Mais je me sens en confiance avec cette femme.

Dom Louise a mon âge, et contrairement à certaines dominatrices que j’ai pu croiser, elle fait la part des choses, et sépare bien ses activités de fesseuse dominante et sa vie familiale, qui semble d’ailleurs bien remplie. Je me sens en confiance, et vous serez surement d’accord avec moi pour confirmer que la confiance est la base de ce type de rapports. 

Comme d’habitude lorsque je prends un rendez vous de cette nature, ma nuit est agitée et peuplée de fantasmes plutôt inavouables. Et ce matin au réveil, mon érection était la preuve de mon excitation. Ma journée de travail ne fut pas un exemple de concentration, et je profitais du voyage en train pour me reposer un peu. Bien m’en a pris, car la soirée fut longue et riche. 

Un passage éclair dans ma chambre d’hôtel destiné à être parfaitement présentable et propre sous tous rapports, et je prends le chemin du métro Marseillais. La tension est telle que j’ai les jambes qui flageolent sur le trajet. J’ai peur d’être en retard, de ne pas trouver le bon quai du premier coup. Le doute m’assaille, et si je sais dans mon fort intérieur que j’irais une fois de plus au bout de mes fantasmes, toutes sortes de pensée se bousculent à l’intérieur de mon cerveau torturé.

Sur les indications téléphoniques de Dom Louise, j’arrive enfin devant l’entrée de son repaire, mais la porte est fermée. Ai-je bien compris, ne suis-je pas en train de batailler devant la porte d’un quidam ? Dom Louise vient enfin m’ouvrir sa porte, et me fait pénétrer dans un petit cabinet douillet. Au fond se trouve son bureau, sur le coté un canapé est chargé de coussins, l’ensemble est chaleureux grâce à des couleurs au ton « rose fesse fessée » et à un éclairage adapté. Je me sens de suite rassuré, mais ce moment de calme n’est que de courte durée. 

Dom Louise me présente une chaise sur laquelle elle m’invite à poser mon blouson et ma veste, mais je me fais immédiatement rappeler à l’ordre : « que font ces lunettes encore sur ton nez ? Tu crois peut-être échapper aux gifles que tu mérite ? » Je m’empresse de déposer les dites lunettes sur une table, et me présente, tête basse et honteux devant elle.

« Alors, ma lope parisienne ! Tu as encore fait des bêtises je parie ! Allez, dis moi ce que tu as fait ! »

Je déteste ces instants au cours desquels je dois exprimer à haute voix toutes les turpitudes que j’ai accomplies. Je ne résiste jamais à mes pulsions, mais c’est après que la honte se fait jour.

D’une petite voix, et les yeux rivés sur mes chaussures, j’avoue être allé sucer des queues dans un sexe shop parisien.

« Tu es vraiment une salope ! » me lance-t-elle avec une gifle retentissante. « Mais ne me fait pas croire que c’est tout ? »

Alors, je dois avouer que j’ai recommencé une seconde fois. Et c’est deux baffes qui me marquent les joues.

« Et tu t’es encore fait pisser dessus, ma lope ? » Malheureusement non, je n’en n’ai pas eu l’occasion, et le ton dépité que j’emploie pour lui répondre me vaut deux nouvelles claques bien senties.

Pour ceux qui ne connaissent pas, je dois faire un petit commentaire sur les gifles de Dom Louise. Elles sont d’une rare violence, aussi bien physiquement que moralement. J’ai l’impression d’être un vilain garçon qu’on punit. 

Dom Louise est contente de son effet, et je la sens parfaitement détendue. Elle s’assoit à son bureau pour siroter un verre de Jack Daniels, m’en offre gentiment un, me fait mettre à genoux sous son bureau pour continuer de me questionner.

Elle m’interroge sur mes pratiques.

« Tu te fais enculer ? » Bien sur, dès que l’occasion se présente !

« Mais tu es vraiment une salope ! » Que répondre à cela, je vous le demande ?

« Et tu ne mets jamais de sous vêtement féminins ? » Mais bien sur que si, j’adore me travestir ! Dom Louise part d’un grand éclat de rire moqueur. « J’aimerais bien te voir ainsi travesti, cela doit être bien rigolo ! Ne bouges pas, je vais voir comment tu vas pouvoir t’habiller »

Elle part dans une autre pièce, et je l’entends fouiller dans une armoire tout en prononçant des commentaires humiliants. Elle choisi finalement une tenue dans laquelle je ferais bien pute, des bas blancs, un corset porte jarretelles noir, une culotte rouge (je lui ai avoué mon gout immodéré pour le rouge), et des chaussures à talons hauts à ma taille. Je m’habille le plus rapidement possible, mais ce corset n’est pas simple à attacher, et je dois me bagarrer pour accrocher mes bas, pendant que Dom Louise me houspille pour aller plus vite. Quand enfin je me présente devant elle, en claudiquant sur ces talons dont je n’ai pas l’habitude, Dom Louise éclate de rire. Manifestement, je ne ressemble à rien, sauf à un travesti sur le retour faisant le tapin, mais qui risque bien de ne pas monter beaucoup de clients. Elle me fait marcher, tourner. Je manque de me fouler une cheville à chaque pas, ce qui augmente le rire sarcastique de ma Maitresse.  

Mais ce que Dom Louise aime par-dessus tout, c’est donner de véritables fessées.

Elle va chercher de quoi me bâillonner, et m’attacher aux barreaux de son canapé. La tension monte d’un cran, car je me souviens de la précédente fessée, de cette main ferme et sans pitié. Dom Louise s’installe confortablement sur son canapé, et je m’allonge sur ses genoux. Très vite, les claques s’abattent sur mes fesses, régulièrement, comme un métronome, la gauche,  la droite, toujours plus fort. La brulure est intense, mais je ne peux, même si je le voulais, m’échapper de ses genoux. Une pause ridiculement courte, et les coups pleuvent à nouveau. Je gesticule, mais c’est le miracle de la fessée, la douleur devient plus facile à supporter. Et c’est Dom Louise qui décide d’arrêter, de peur de me laisser trop de marques. Elle me détache pour que j’admire le résultat dans une glace, et je peux constater la belle couleur rose de mes fesses. Mais j’en veux plus, et Dom Louise ne se fait pas prier pour me coucher de nouveau en travers de ses genoux. Mes fesses commencent à regretter d’en avoir redemandé, mais mon cerveau se délecte de cette punition. On s’occupe de moi, on me corrige de toutes les conneries que je fais, et cela me procure une sensation de réconfort. Et quand je me ferai fister tout à l’heure, les fesses bien rouges, le plaisir n’en sera que plus intense.  

Après cette séance musclée, Dom Louise a besoin d’une petite pause, qu’elle met à profit pour mesurer l’étendue de mes perversions, ce qui a le don de m’humilier encore un peu plus.

Avec mes hauts talons et mes bas blancs, je me confie avec délectation à ma Maitresse, et cela repose mes fesses écarlates et brulantes. Je m’entends lui narrer quelques moments forts de ma vie de soumis, les fessées de Francis, l’éducation de Maitresse Sulfure qui m’a tant appris, mes jeux dangereux avec Maitres James, ou ma séance d’initiation avec Paul. 

Ce moment de repos bien mérité par les deux parties, Dom Louise me conduit dans une pièce attenante, au centre de laquelle trône une table de massage et d’épilation. Elle m’ordonne de monter dessus, et d’attendre qu’elle se prépare, à quatre pattes, les jambes écartées. J’ai vraiment l’air d’une belle salope, et je suis heureux de l’entendre me complimenter sur mes fesses. Ma position lui permet de parfaitement admirer son œuvre et le contraste entre mes bas blancs et mes fesses rouges semble saisissant. Pour ma part j’ai hâte de sentir ses doigts fouiller mon intimité et forcer l’entrée de mon cul.

Quand elle est enfin prête, je reçoit une nouvelle réprimande. Je suis monté sur la table avec les chaussures, j’ai gardé ma culotte, et comble de la maladresse, je dois dégrafer mes bas pour retirer celle-ci. 

Je reprends rapidement la pause, et je sens les doigts gantés de Dom Louise forcer l’entrée de mon petit trou. Elle fait cela en douceur, et le gel lui permet de me pénétrer avec une grande facilité. Il faut dire que je ne manque jamais une occasion de me mettre un plug ou un gode dans le cul. Et il n’en faut pas plus pour me faire couiner. Je suis d’une grande sensibilité anale, et je prends très vite mon pied. Les doigts s’agitent et se multiplient, je vais à la rencontre de cette main experte pour la sentir au plus profond de moi. A ce moment, le temps s’est arrêté. Mon cerveau n’est plus tourné que vers mon cul qui s’élargit. Il m’encourage à m’agiter, à plonger vers cette main experte pour tenter de l’engloutir. La mienne ayant eu l’autorisation de me masturber, je vois dans la glace une paire de fesses rouges trouée par le bras de Dom Louise, une bite qui durcit. Combien de temps aura duré cette sodomie, je ne sais. Cinq, dix, quinze minutes, peut-être plus, et je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je couine, je m’ouvre, je n’en finis plus de  prendre du plaisir, un plaisir indescriptible, que seuls les amateurs de sodomie peuvent connaitre. La jouissance atteint son paroxysme, et c’est en poussant de profonds soupirs que je me répands sur la serviette noire posée sur la table. Cette jouissance est violente et longue, et il me faudra quelques instants pour me remettre de cette émotion intense. Mon visage est dorénavant illuminé d’un sourire béat, dont je ne peux me départir après ces séances merveilleuses. 

Dom Louise, vous êtes vraiment une grande femme, parfois cruelle mais toujours à l’écoute. Nous resterons encore un long moment à parler de plein de choses, en toute humanité, après ces moments d’une perversité intense. 

Merci Dom Louise, je reviendrai. 


NOUVEAU RECIT


Le cinéma de la gare du Nord

 

 

Ce soir, j’ai réussi à me sauver du bureau de bonne heure.

Mon objectif, le cinéma porno de la gare du Nord.

Je suis un habitué de ce cinéma, plutôt glauque, mais j’y ai déjà fait des rencontres très hot. Fréquenté exclusivement par des hommes, il peut se passer des choses à la limite du Hard.

 

Après quelques pipes juteuses opérées de ci de là, j’arrive enfin à me poser dans le fauteuil stratégique, celui qui est installé au fond du cinéma, et où les habitués savent bien qu’ils peuvent se vider les couilles dans une bouche accueillante. A peine installé, un nouvel arrivant vient se frotter à un spectateur assis non loin de moi. Il se fait tripoter un peu la bite, mais rapidement il se la remet dans le slip.

Il m’aperçoit, et vient directement vers moi.

C’est Nicolas. Nous nous sommes déjà rencontré dans ce même cinéma, puis dans un sauna de Pigalle, mais dans le noir, nous ne nous sommes pas encore reconnu.

 

A peine près de moi, lui debout et moi assis, il ouvre sa braguette et sort sa bite. J’ouvre la bouche sans réfléchir, et il me la fourre le plus profond qu’il peut.

- Ouvre me dit-il

J’ouvre le plus possible ma bouche, sors la langue, et je sens sa bite au plus profond de ma gorge. Immédiatement, un haut le cœur me prend et je tente de me reculer. Les larmes me montent aux yeux, et je reçois une première baffe pour avoir reculé.

- Ouvre répète-t-il

Et à nouveau je sens sa bite me pénétrer profondément, la bave surgit et les larmes remontent.

Il me tient la tête, il se sert de ma bouche comme d’un vagin, bref il me baise la bouche. Et à chaque reculade, je prends des baffes. Et je bande !

Il me traitre de chienne, de salope, il me viole la bouche. Et je bande !

Tu aimes la pisse ? me demande-t-il. Je n’ai déjà plus la force de répondre et je lâche un petit oui.

Alors il me penche la tête, met sa queue au dessus de ma bouche, et lâche quelques jets d’urine.

Si j’avais sorti ma bite de mon pantalon, je crois que j’aurais joui instantanément.

 

Mais notre position ne lui convient pas. Il veut être plus à l’aise. Il range son matériel et me traine par loreille vers les sièges du premier rang. Je suis totalement débraillé, et je dois passer pour une vraie salope. Je m’assois à ses coté.

Il a déjà sorti sa bite, prend ma tête et me force à le sucer.

- Ouvre salope me crie-t-il.

Et cela recommence, les hauts de cœur, les larmes aux yeux, les claques quand je me recule. Je l’entends dire à un spectateur venu s’installer derrière nous : « elle suce bien, c’est une vraie salope »

Et puis, sans crier gare, il se lève et m’intime l’ordre de rester là.

Je suis hébété, humilié. Je ne sais que faire, je reste, j’attends.

Mais je suis tétanisé, je dois rester là. Alors je baisse mon pantalon et commence à me masturber devant un film que je ne vois pas.

Le voila qui revient. Il a cherché une autre bite à me faire sucer pour mieux m’humilier, mais il n’a pas trouvé de candidats.

Alors je prends une nouvelle gifle pour avoir commencé à me branler, et il me baise la bouche comme jamais. Sa bite entre et sors, toujours plus profond.

- Vomis moi dessus si tu veux me dit-il.

Je prends sur moi, et il s’active toujours plus dans ma bouche.

- Tu te fais enculer ?

- Non, pas ici, pas comme ça !

- Alors tu vas prendre ma purée, salope.

Je sens sa bite turjescente durcir encore un peu plus, il me tient la tête comme jamais, je ne peux pas fuir, et je sens son liquide couler dans ma bouche.

Il me tient la tête pour que j’avale tout son foutre.

 

Là, il se lève, remet sa bite dans son pantalon, et s’en va. Je me retrouve au premier rang de ce cinéma, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte. J’ai encore en moi l’odeur de sa pisse. Je suis humilié, les gens me regardent avec dégout, je suis hébété.

  Mais quel pied !




Mes premiers pas dans le monde du SM 
Nous sommes dans l’hiver 2003, et je suis devant mon ordinateur.  Que suis-je venu faire sur ce site dédié à la fesse ? Quelle recoin caché de mon subconscient m’a-t-il poussé à choisir ce site Internet qui présent toutes sortes de fessiers ? J’admire des fesses de femmes, d’hommes, des grosses fesses et des plus sexy, des poilues et des imberbes, et mon subconscient commence à faire de l’effet dans mon bas ventre !

Et puis, il y a cette rubrique « rencontres » qui m’attire inexorablement, des femmes cherchent des hommes, des hommes cherchent des hommes. Et je tombe sur cette annonce d’un homme qui cherche, à Arras, des fesses à faire rougir. C’est avec une certaine émotion que j’appuie sur le bouton répondre, que je me présente et propose une rencontre. 

A cette époque, j’ai 42 ans. Je suis marié et père de 2 garçons. Mon mètre 69 et mes 69 kg font de moi un homme insignifiant, sans signes particuliers, et plus personne ne se retourne sur mon passage. Mes nouvelles lunettes cachent dorénavant mes yeux bleus, et ma barbe commence à grisonner, ce qui ne doit pas aider. Je ne fais plus beaucoup d’effet à mon épouse, qui se fait de plus en plus prier pour faire l’amour avec moi. Peut-être ne suis-je plus à la hauteur de ses attentes, et pourtant, nos ébats amoureux finissent toujours par la faire jouir.

Responsable d’un service informatique d’une enseigne de distribution nationale, mon boulot m’entraine souvent loin de mon foyer, et ces déplacements professionnels sont ces temps ci plus longs et plus nombreux, ce qui ne nous rapproche guère. 

 Je reçois rapidement une réponse de mon correspondant, nous l’appellerons Francis. Il accepte de me rencontrer, et de m’initier à la fessée. Nos échanges sont succincts. Quelques questions sur mon physique, et nous réglons les détails de notre rencontre. Il me donne rendez-vous sur un parking près du tribunal. Je lui ai donné la marque de mon véhicule, c’est donc lui qui me trouvera, d’autant que je ne connais rien de lui. 

Le rendez-vous est fixé à la semaine prochaine, et je vous prie de croire que cette semaine sera longue. Mes nuits sont habitées de rêves et de cauchemars. Dans quoi me suis embringué ? Vais-je tomber sur un satyre, ou pire sur un sociopathe ? Et quelle mouche m’a piqué de me lancer dans cette aventure ? Ne devrais-je pas aller directement consulter un psychiatre ?

Mais malgré  ces questionnements, je sens bien, au fond de moi, que j’en ai envie. J’ai envie de me retrouver à la merci de quelqu’un qui me prendra en main, qui aura autorité sur moi. Ne plus penser, obéir, et me punir, n’est pas cela que je cherche ?

Et les nuits où je me réveille avec ces images dans la tête, mon érection est bien là. Alors, allons-y ! 

Mon rendez-vous professionnel sur Arras s’éternise, et je dois me dépêcher quand j’arrive enfin à mon hôtel. Je ne sais pas à quoi m’attendre avec Francis, mais je ne veux pas être pris en défaut sur ma propreté ou ma tenue. Je passe donc le temps qu’il faut sous la douche, m’habille de manière correcte et file à mon rendez-vous, espérant ne pas me perdre dans ce quartier arrageois que je connais mal.  

Je gare enfin ma voiture à l’endroit convenu, et j’attends. Nous sommes en février, et il fait nuit à cette heure tardive. Je ne suis pas très rassuré, et l’attente me pèse. Les émotions se bousculent à nouveau dans ma tête, et je fantasme sur cet homme charismatique qui va m’amener progressivement à jouir dans la douleur. Une légère érection commence à se faire sentir. Je sursaute quand on frappe au carreau, tant j’étais perdu dans mes pensées.

Un Monsieur de mon âge ouvre la portière passager, s’installe à mes cotés, et me guide jusqu’à son immeuble.  

Francis est un homme un peu plus âgé que moi. Il n’est pas beau, est mal habillé et ne sens pas très bon. Il doit avoir ma taille, mais avec un peu de bedaine, et je crois que si j’avais eu sa photo au préalable, j’aurai refusé ce rendez-vous. Il parle peu dans la voiture, et mon angoisse monte d’un cran. 

Nous pénétrons dans un petit appartement. Il me demande de m’assoir et me propose de boire un verre d’eau pour détendre l’atmosphère relativement pesante. En effet, mon stress vient de grimper très vite. Il n’est plus possible de reculer, je vais probablement me déshabiller devant un homme dans la lumière de son salon, je vais vivre cette fessée tant désirée mais tant redoutée à la fois, le tout par un homme que je ne connaissais pas il y 5 mn.

Francis me parle un peu de lui, il s’agit d’un ancien soumis qui souhaite faire partager son plaisir de la fessée. Il me narre quelques séances qu’il vécu avec des dominatrices, me parle de jours entiers sans pouvoir s’assoir ce qui ne me rassure pas. 

Soudain, Francis se lève et me demande de me déshabiller entièrement, à l’exception de mon slip. Je dois ensuite me mettre à genoux par terre, et attendre en lui tournant le dos. Les choses sérieuses débutent, et à peine mes genoux ont-ils touchés le froid carrelage que je sens mon slip tendu par une belle érection. 
 

Je l’entends bouger et quand il me demande de me relever, il est en caleçon et assis sur une chaise. Il m’ordonne de venir m’allonger sur ses genoux. La position n’est pas confortable, mes mains se tiennent aux barreaux de la chaise et mes pieds touchent à peine le sol. Sa main se pose doucement sur mes fesses encore couvertes de mo slip, puis tombe une première claque. Francis y va progressivement, et je ne ressens pas encore de réelle douleur, plutôt ce plaisir nouveau de se sentir pris en main.

Après quelques claques alternées entre la gauche et la droite, il me descend le slip au niveau des chevilles, et recommence les claques alternées. C’est à ce moment que je commence à ressentir la douleur. Ses mains sont fermes, mes fesses commencent à rougir, et je gigote pour me libérer de son étreinte. Mais il me tient fermement et je ne peux que subir. 

Soudainement, il me demande de me lever pour admirer son travail, et certainement déçu par le manque de rougeur, il me prend sous son bras, et entame une nouvelle fessée debout comme on le fait d’un petit garçon. Je commence à ressentir une certaine humiliation, et j’y prends gout. 

Il me conduit ensuite près de la table, me demande de me pencher en avant pour poser mes mains sur celle-ci, les bras tendus et les jambes écartées. Il se munit d’une tapette à mouche posée sur la table, et brutalement m’en assène un coup sur les fesses. On a l’impression que ce petit bout de plastique destiné à écraser les mouches est tellement léger que rien ne va se passer, mais je vous garantis que la douleur est fugace mais bien réelle. Et fugace, ce n’est qu’au premier coup, car au fur et à mesure, la tapette fait vraiment son effet. Si j’osais donner un conseil aux dominants qui me liront, je leur conseillerais de ne pas oublier cet ustensile dans leur panoplie. Je me rendrai compte plus tard que c’est l’instrument qui m’aura laissé le plus de traces. 

Mais Francis pense aussi que cet instrument est trop light, et il empoigne une banale règle en bois de 30 cm. J’ai l’impression d’être à l’école, la Maitre me punit, et ça fait mal. Je gesticule mais n’ose pas trop bouger. Je me sens humilié, mais je ne veux pas le faire voir. En écrivant ces quelques lignes, je me souviens encore des larmes que je ravale ! Francis finit par s’arrêter. Il sort une bite un peu molle de son caleçon, et m’oblige à le sucer, ce que je n’ai encore jamais pratiqué. Mais malgré mon dégout, j’obéis à ses ordres. Je suis au comble de l’humiliation, et il le ressent rapidement. 

Il me demande alors de me remettre en position devant la table, et m’abandonne ainsi, les fesses rouges et douloureuses. Je l’entends farfouiller dans la salle de bain, et quand il revient, il m’enduit la rondelle de gel, avant de tenter l’introduction d’un gode dans mon anus encore serré. J’ai mal aux fesses, mais cette douleur fait place à une nouvelle, celle de ce plug qui tente de se frayer un passage dans mon cul, qui distend mes chairs quasiment vierges. Heureusement, il n’ira pas trop vite ni trop profond. Je crois qu’il souhaite en finir, car il me demande de me masturber, toujours écartelé par son gode et cambré devant la table. Il me claque les fesses à intervalles réguliers pendant que je me branle.Rapidement, je sens le plaisir monter, et je vais vivre un orgasme tel que je n’en n’ai jamais ressenti. La jouissance me fait resserrer les fesses sur ce gode, les claques continuent de les chauffer. Je jouis comme jamais, et je suis à la limite de m’écrouler tant cet orgasme est violent.Mes jambes flageolent autant que me cerveau se délecte du plaisir qui me submerge ! Je viens de vivre mon premier orgasme associant souffrance et sodomie, et gageons que ce plaisir « nirvanesque » me conduira vers de nouveaux plaisir et horizons.Ce jour là, je n’en suis pas vraiment conscient, mais aujourd’hui, je sais bien que ce jour aura marqué mon entrée dans le monde du SM.  

Je reverrais Francis une autre fois, et c’est une autre histoire.



Une semaine de février pas comme les autres 

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